miercuri, 19 octombrie 2011

Le concept de médecine nutritionnelle face du stress oxydatif (les antioxydants)

La plupart des gens ne comprennent pas vraiment le concept de médecine nutritionnelle et moins de personnes encore celui de la nutrition cellulaire. L’article qui suit vous aidera à comprendre comment à titre de spécialiste en médecine. J’espère que la lecture de mon article vous vaudra de mieux comprendre comment vous pouvez mieux protéger votre santé ou la recouvrer, et pourquoi vous pouvez le faire en mettant en pratique dans votre vie les concepts présentés.
Le concept du stress oxydatif
Bien que l’oxygène soit nécessaire à la vie, il est essentiellement dangereux. En effet, alors que d’une part l’oxygène intervient dans la production d’énergie au niveau de la cellule, d’autre part, du même processus résulte la création de sous-produits appelés les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène chargées qui, en manque d’au moins un électron, sont désireuses d’en trouver un (ou plusieurs) dans leur environnement immédiat. Si ces radicaux libres ne sont pas neutralisés par un anti-oxydant, substance apte à leur offrir les électrons manquants, ils sont susceptibles de créer davantage de radicaux libres volatiles, d’endommager la paroi cellulaire, la paroi vasculaire, les protéines, les lipides et même l’ADN. Par conséquent, le même procédé qui accorde une couleur brunâtre à une pomme coupée ou qui rouille le métal est responsable du fait que vous « rouillez » de l’intérieur. En fait, la littérature médicale révèle que plus de 70 maladies dégénératives chroniques ont pour cause ce processus d’oxydation. Des maladies comme la coronaropathie, le cancer, le diabète, la maladie de Parkinson, l’arthrite, la dégénérescence maculaire, la sclérose en plaques et le lupus sont le résultat de légers changements oxydatifs étalés sur une longue période de temps.
Tout est question d’équilibre
La quantité de radicaux libres que produit votre corps fluctue. En d’autres mots, certains jours vous en produisez davantage. Victime de modes de vie caractérisés par le stress, la pollution environnementale et la surmédicalisation, la génération actuelle souffre d’une production de radicaux libres plus abondante que toutes les générations qui l’ont précédée. Vous désirez prévenir le stress oxydatif ? La quantité d’antioxydants que vous consommez, accompagnés de leurs nutriments de soutien, devra surpasser celle des radicaux libres que produit votre corps. Nous ne sommes pas sans défense. La solution, c’est la consommation d’antioxydants. Il convient donc de se poser la question à savoir si nos aliments contiennent tous les antioxydants dont nous avons besoin. J’ai dû me poser cette question et c’est cette interrogation qui a mené à la rédaction de Ce que votre médecin ignore de la médecine nutritionnelle. Après plus de deux années consacrées à la révision de la littérature médicale, j’ai conclu que la seule chance que nous avons de prévenir le stress oxydatif est de consommer des suppléments alimentaires de haute qualité, complets et équilibrés, suppléments qui contribuent à ce que j’appelle la nutrition cellulaire. Si vous n’avez pas encore lu mon livre ou écouté l’un ou l’autre de mes CD sur le sujet, je vous encourage certainement à le faire. Bien appuyés de références médicales détaillées, mes livres présentent la preuve médicale qui exige que verdict soit rendu : Devriez-vous prendre des suppléments alimentaires ?
L’historique de la médecine nutritionnelle
Au cours du dernier demi-siècle, on a pratiqué la médecine nutritionnelle en déterminant les nutriments spécifiques dont l’organisme était déficient et en palliant à ces déficiences. Mes recherches ont permis de conclure rapidement et clairement à l’évidence que le problème sous-jacent de la plupart d’entre nous n’est pas une insuffisance nutritionnelle mais le stress oxydatif. Il m’apparut aussi évident que la médication, qui accroît en fait la production de radicaux libres, ne mènerait jamais à la prévention de quelque maladie que ce soit. De plus, s’il en était ainsi, l’objectif devait être l’apport de nutriments nécessaires au renforcement du système de défense antioxydant naturel de notre corps, de façon à éviter le stress oxydatif. Il m’apparut tellement évident que nos corps, et non les médicaments que je pouvais prescrire, constituaient la meilleure défense contre toutes les maladies ci-haut mentionnées. Le problème N’EN EST PAS un d’insuffisance nutritionnelle mais plutôt de stress oxydatif.
La recherche moderne en nutrition
La recherche moderne a pour objectif de trouver le « remède miracle » pour une maladie spécifique. Par exemple, plusieurs études ont révélé que les fumeurs dont le sang affichait des taux élevés d’antioxydants présentaient un risque beaucoup moins élevé de développer un cancer du poumon, comparativement aux fumeurs qui affichaient les taux les plus bas d’antioxydants. La plupart des chercheurs étaient d’avis que cet état de chose était attribuable à des taux élevés de bêta-carotène. Par conséquent, ils décidèrent de mener une étude dans le cadre de laquelle on donna à un grand nombre de fumeurs un supplément de bêta-carotène et rien d’autre. Ces mêmes chercheurs furent renversés lorsqu’ils observèrent que ce dernier groupe de fumeurs était davantage à risque de souffrir d’un cancer du poumon que le groupe témoin. Ceci mena les chercheurs et les gens des médias à affirmer que la bêta-carotène constituait un nutriment dangereux que les fumeurs devaient éviter de prendre comme supplément alimentaire. Quelques années plus tard, une évaluation des mêmes données révéla que les fumeurs qui affichaient les niveaux les plus élevés d’antioxydants complets risquaient beaucoup moins de souffrir d’un cancer du poumon, comparativement à ceux dont les niveaux étaient les plus bas.
La bêta-carotène N’EST PAS un médicament mais plutôt un nutriment que nous obtenons des aliments. Toutefois, aujourd’hui, la supplémentation alimentaire nous permet d’en consommer au-delà des quantités qu’on peut trouver dans notre alimentation. L’action de la bêta-carotène est restreint à certaines parties du corps et n’est efficace que contre certains types de radicaux libres. Par conséquent, la bêta-carotène requiert l’aide d’autres antioxydants, ainsi que de minéraux et de cofacteurs B aux propriétés antioxydantes, pour effectuer un travail efficace. Mais que font les chercheurs ? Ils s’évertuent à trouver la « solution magique », au lieu de prendre du recul et d’essayer de comprendre les concepts et principes élémentaires de la nutrition cellulaire. Malgré tout, un grand nombre d’études où on limite la recherche aux effets d’un ou de deux nutriments révèlent des bienfaits quelconque pour la santé. C’est incroyable ! Quels seraient les bienfaits d’une combinaison de tous les nutriments pris en dose optimale ? Bienvenue au concept de la nutrition cellulaire.
Le concept de la nutrition cellulaire
À ce jour, plus de 180 études épidémiologiques ont été menées, études faites sur un grand nombre de sujets; elles sont toutes parvenues à la même conclusion. Lorsqu’on compare les personnes dont le sang affiche les taux les plus élevés d’antioxydants complets aux autres gens aux taux les plus faibles, les premiers courent deux à trois fois moins de risque de souffrir du cancer, de maladies du cœur, du diabète et même de la maladie d’Alzheimer. De toute évidence, les gens qui consomment davantage de fruits et de légumes frais, aliments qui contiennent de fortes quantités d’antioxydants, sont les sujets qui affichaient les taux sanguins les plus élevés d’antioxydants. C’est tout à fait logique lorsqu’on comprend que le concept du stress oxydatif constitue la cause principale de plus de 70 maladies dégénératives chroniques. Par conséquent, un médecin devrait conclure que le premier conseil d’importance à prodiguer à ses patients est de consommer quotidiennement au moins 8 à 12 portions de fruits et légumes frais, et le deuxième conseil serait de leur recommander des suppléments alimentaires de haute qualité, complets et équilibrés, pour nourrir leurs cellules.

La nutrition cellulaire, c’est l’apport aux cellules de
TOUS les micro-nutriments à des doses plus élevées ou optimales, c’est à dire en quantités bénéfiques pour la santé, selon ce qu’en dit la littérature médicale. Autrement dit, votre supplémentation alimentaire devrait être équilibrée et complète, comme l’est un régime alimentaire sain. Il existe cependant une différence : les suppléments alimentaires peuvent fournir tous les nutriments nécessaires à la cellule en dose optimale, ce que nos aliments ne peuvent pas faire. À cause de modes de vie caractérisés par le stress, de la pollution environnementale et de la surmédication, tout régime alimentaire sain doit être accompagné de supplément Selon la littérature médicale, la nutrition cellulaire fortifie les systèmes immunitaire et antioxydant naturels du corps, de même que son système de réparation. Non seulement vous palliez à toute carence nutritionnelle en moins de six mois de supplémentation, mais vous optimisez tous les micro-nutriments de votre organisme. Vous vous accordez ainsi la meilleure des chances d’inverser ou de prévenir tout stress oxydatif et de protéger votre santé. Voyez-vous, la supplémentation alimentaire, c’est vraiment une question de santé et non de maladie. Pour l’organisme, les suppléments alimentaires sont des composantes naturelles et le corps en a besoin pour fonctionner à un niveau optimal.

Tout homme, femme et enfant a besoin d’ajouter des suppléments alimentaires à un régime alimentaire sain et de suivre un programme d’exercice modeste. Ces éléments sont essentiels à la protection et au maintien d’une bonne santé. Cependant, que faire si vous n’êtes plus en bonne santé et si vous souffrez d’une des nombreuses maladies dégénératives chroniques ? La supplémentation est-elle porteuse d’espoir ? C’est la question que j’ai dû me poser et à laquelle j’ai dû répondre, pour les patients. C’est le centre d’intérêt principal
Le concept de la synergie
À maintes reprises, la lecture de la littérature médicale m’a révélé que les patients déjà victimes d’une maladie dégénérative chronique comme la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde ou le diabète, souffraient d’un stress oxydatif beaucoup plus élevé que les patients normaux et en bonne santé. La nutrition cellulaire est normalement suffisante pour aider celui ou celle qui jouit d’une excellente santé. Toutefois, une telle supplémentation ne suffirait pas à maîtriser le stress oxydatif chez la personne déjà victime d’une maladie majeure.
Il m’apparut très évident, et assez rapidement, que pour espérer avoir un effet bénéfique sur la santé d’un patient qui souffre d’un cancer, d’une maladie du cœur, de dégénérescence maculaire, du diabète et autres maladies du même ordre, il s’avérait nécessaire de véritablement optimiser les systèmes de défense naturels du corps sous tous leurs aspects. J’ai réalisé rapidement qu’en soumettant tous mes patients à une nutrition cellulaire de base, j’étais capable de créer un effet synergique. La vitamine E constitue un excellent antioxydant au niveau de la membrane cellulaire, la vitamine C au niveau du plasma et le glutathion au niveau intracellulaire. Cependant, tous ces antioxydants ont besoin des minéraux antioxydants et des cofacteurs B pour bien faire leur travail. De plus, l’action de la vitamine C rend la vitamine E ré-utilisable encore et encore. Et comment oublier l’acide alpha-lipoïque, autre excellent antioxydant capable de régénérer la vitamine E et le glutathion. J’ai découvert que 1 + 1 n’égalait plus 2, mais plutôt 8 ou 10. Cette approche puissante m’a octroyé une bien meilleure chance de reprendre la contrôle du stress oxydatif.
Dès lors que mes patients respectaient mes recommandations en matière de nutrition cellulaire, je commençai à ajouter des optimiseurs à leur régime de suppléments alimentaires. Je me suis mis à la recherche des antioxydants les plus puissants qui soient. À cet égard, j’ai découvert que l’extrait de pépins de raisin était 50 fois plus puissant que la vitamine E et 20 fois plus puissant que la vitamine C, dans le combat contre le stress oxydatif. Quant au CoQ10, il ne constituait pas seulement un important antioxydant, mais aussi un stimulateur majeur de notre système immunitaire naturel et une aide quant à un apport accru d’énergie cellulaire, permettant à la cellule de fonctionner de façon optimale. D’autres nutriments comme le sulfate de glucosamine, le chou palmiste nain, les phytonutriments, l’apport accru de vitamine E, le calcium et le magnésium produisaient des résultats extraordinaires dans le cas de maladies diverses.
Le soutenir les systèmes de défense naturel et confére la meilleure chance de reprendre en mains leur santé. De nouveau, tout est question d’équilibre. Les patients qui souffrent déjà d’une maladie reprendre la maîtrise de leur stress oxydatif. C’est là mon but principal. Ce n’est qu’alors que les patients peuvent jouir d’une chance de voir leur santé s’améliorer. En accompagnant la nutrition cellulaire d’optimiseurs spécifiques, je donne à tous les patients la meilleure des chances d’amener le stress oxydatif sous contrôle. Les résultats en pratique médicale, en mettant en pratique ces principes, ne sont rien de moins que renversants, . Maintenant, je vous faire part de quelques précautions. Premièrement, la médecine nutritionnelle diffère de la prise de médicaments. Un minimum de six mois est requis pour bâtir les systèmes de défense naturels du corps, et plusieurs des patients ont observé une amélioration de leur état de santé qu’après six mois. L’organisme de certains des patients ne réagit pas toujours à recommandations. Cependant, la majorité d’entre eux ont bénéficié d’une amélioration significative de leur santé en respectant mes recommandations. Aucun de ses patients n’a été guéri de sa maladie sous-jacente. La supplémentation alimentaire n’est ni une alternative ni un substitut aux soins de santé médicaux traditionnels. Vous ne devriez jamais cesser de prendre les médicaments que vous a prescrits votre médecin sans le consentement et la supervision de ce dernier. Plusieurs des patients ont réussi à réduire leur dépendance aux médicaments et, dans certains cas, même cesser de les prendre. Cependant, cela est toujours à la suite d’une amélioration importante de leur état de santé et sous la supervision de leur médecin personnel.
J’ai pour mission de vie de communiquer ces concepts de bonne santé et d’aider le plus grand nombre de gens possible. Je vous encourage à en profiter et à partager avec d’autres les bénéfices potentiels pour la santé liés au respect de mes recommandations, soit pour protéger votre santé ou possiblement pour recouvrer la bonne santé que vous avez perdue.


Dr medic Karol Chami

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